il_signore_dei_sentimenti

RITRATTI TORINO
2009-2010

La série réalisée en Italie s’inspire des portraits de la renaissance italienne et des vedute, aussi bien que d’images ethnologiques en jouant sur différents modes de représentation et de récit. Chaque image s’offre comme une chronique du quotidien où les objets ramènent à l’identité du personnage et à l’actualité contemporaine.

«Les photographies d’Aurore Valade sont construites selon trois genres de la peinture classique : le portrait, les scènes d’intérieur et les vedute. Chaque composition naît d’un minutieux travail de photomontage et de retouches. Mais, en dépit des interventions techniques et des redéfinitions, elles maintiennent une force réaliste et restent fidèles à la vérité du moment effectif de la prise de vue. Le travail d’Aurore Valade renvoie à un essai du poète et critique allemand Rainer Maria Rilke intitulé Notes sur la mélodie des choses (1898), dans lequel il engage une réflexion sur le thème du portrait dans les oeuvres d’art. Dans les écrits de Rilke, la vue sur le fond est semblable à une mélodie, comme si chaque personnage faisait partie d’un choeur, la voix de chacun contribuant à créer l’harmonie de l’ensemble. Selon le poète, ce n’est donc pas la reproduction fidèle du personnage qui fait naître la possibilité de la relation. Plus importantes sont, en revanche, la représentation et la compréhension du « monde » dans lequel le sujet vit, du monde qui se cache derrière la figure. Un espace qui, dans les travaux présentés à Arles, se présente comme un intérieur chargé d’objets et de souvenirs, un espace qui s’ouvre sur la vue en perspective de la ville ou sur le monde commun et globalisé dont témoignent les médias – le journal, la télévision – présents sur les photographies.» Maria Cristina Strati

This series (2009-2010) is inspired by Italian Renaissance portraits and “vedute”, or landscapes, but also by ethnological images. Each image is a narrative of everyday life, in which objects reflect the figure’s identity as well as contemporary events.

“Aurore Valade’s photos bring together three different genres of Classical painting: portrait, interior scenes and the “vedute”. The compositions are the result of meticulous photomontage and touch up. However, in spite of the technical interventions, they remain strongly realist and faithful to the moment of the shooting. This work refers to an essay on portraits in art by the German poet and critic Rainer Maria Rilke, Notes on the Melody of Things (1898). In his writings, Rilke compares the view in the background to a melody, as if each figure was part of a chorus. A faithful reproduction of the figure is not what matters the most. The world hidden behind the figure, and how it is represented and understood, is more important. In the selection shown in Arles, this space is presented as an interior, full of objects and memories, that opens onto a view in perspective of Torino and the globalization of the outdoor world, shown by the media present in the pictures (television and newspaper).” Maria Cristina Strati.

ritratti_uomo_del_fondoriez_on_vous_aime

friends

gli_indifferenti

il_gusto_dei_principi

elogio_della_metamorfosi

la_compagnia_della_tua_vita

la_regina_della_cucina

le_donne_che_amano

modelli_di_donna

paradiso_del_mondo

puntiamo_ai_cieli

tu_non_mi_perderai_mai

tutto_quello_che_non_vedete

dettagli

 

il_signore_dei_sentimenti

RITRATTI TORINO
2009-2010

La série réalisée en Italie s’inspire des portraits de la renaissance italienne et des vedute, aussi bien que d’images ethnologiques en jouant sur différents modes de représentation et de récit. Chaque image s’offre comme une chronique du quotidien où les objets ramènent à l’identité du personnage et à l’actualité contemporaine.

«Les photographies d’Aurore Valade sont construites selon trois genres de la peinture classique : le portrait, les scènes d’intérieur et les vedute. Chaque composition naît d’un minutieux travail de photomontage et de retouches. Mais, en dépit des interventions techniques et des redéfinitions, elles maintiennent une force réaliste et restent fidèles à la vérité du moment effectif de la prise de vue. Le travail d’Aurore Valade renvoie à un essai du poète et critique allemand Rainer Maria Rilke intitulé Notes sur la mélodie des choses (1898), dans lequel il engage une réflexion sur le thème du portrait dans les oeuvres d’art. Dans les écrits de Rilke, la vue sur le fond est semblable à une mélodie, comme si chaque personnage faisait partie d’un choeur, la voix de chacun contribuant à créer l’harmonie de l’ensemble. Selon le poète, ce n’est donc pas la reproduction fidèle du personnage qui fait naître la possibilité de la relation. Plus importantes sont, en revanche, la représentation et la compréhension du « monde » dans lequel le sujet vit, du monde qui se cache derrière la figure. Un espace qui, dans les travaux présentés à Arles, se présente comme un intérieur chargé d’objets et de souvenirs, un espace qui s’ouvre sur la vue en perspective de la ville ou sur le monde commun et globalisé dont témoignent les médias – le journal, la télévision – présents sur les photographies.» Maria Cristina Strati

This series (2009-2010) is inspired by Italian Renaissance portraits and “vedute”, or landscapes, but also by ethnological images. Each image is a narrative of everyday life, in which objects reflect the figure’s identity as well as contemporary events.

“Aurore Valade’s photos bring together three different genres of Classical painting: portrait, interior scenes and the “vedute”. The compositions are the result of meticulous photomontage and touch up. However, in spite of the technical interventions, they remain strongly realist and faithful to the moment of the shooting. This work refers to an essay on portraits in art by the German poet and critic Rainer Maria Rilke, Notes on the Melody of Things (1898). In his writings, Rilke compares the view in the background to a melody, as if each figure was part of a chorus. A faithful reproduction of the figure is not what matters the most. The world hidden behind the figure, and how it is represented and understood, is more important. In the selection shown in Arles, this space is presented as an interior, full of objects and memories, that opens onto a view in perspective of Torino and the globalization of the outdoor world, shown by the media present in the pictures (television and newspaper).” Maria Cristina Strati.

ritratti_uomo_del_fondoriez_on_vous_aime

friends

gli_indifferenti

il_gusto_dei_principi

elogio_della_metamorfosi

la_compagnia_della_tua_vita

la_regina_della_cucina

le_donne_che_amano

modelli_di_donna

paradiso_del_mondo

puntiamo_ai_cieli

tu_non_mi_perderai_mai

tutto_quello_che_non_vedete

dettagli

 

il_signore_dei_sentimenti

RITTRATI TORINO
2009-2010

La série réalisée en Italie s’inspire des portraits de la renaissance italienne et des vedute, aussi bien que d’images ethnologiques en jouant sur différents modes de représentation et de récit. Chaque image s’offre comme une chronique du quotidien où les objets ramènent à l’identité du personnage et à l’actualité contemporaine.

«Les photographies d’Aurore Valade sont construites selon trois genres de la peinture classique : le portrait, les scènes d’intérieur et les vedute. Chaque composition naît d’un minutieux travail de photomontage et de retouches. Mais, en dépit des interventions techniques et des redéfinitions, elles maintiennent une force réaliste et restent fidèles à la vérité du moment effectif de la prise de vue. Le travail d’Aurore Valade renvoie à un essai du poète et critique allemand Rainer Maria Rilke intitulé Notes sur la mélodie des choses (1898), dans lequel il engage une réflexion sur le thème du portrait dans les oeuvres d’art. Dans les écrits de Rilke, la vue sur le fond est semblable à une mélodie, comme si chaque personnage faisait partie d’un choeur, la voix de chacun contribuant à créer l’harmonie de l’ensemble. Selon le poète, ce n’est donc pas la reproduction fidèle du personnage qui fait naître la possibilité de la relation. Plus importantes sont, en revanche, la représentation et la compréhension du « monde » dans lequel le sujet vit, du monde qui se cache derrière la figure. Un espace qui, dans les travaux présentés à Arles, se présente comme un intérieur chargé d’objets et de souvenirs, un espace qui s’ouvre sur la vue en perspective de la ville ou sur le monde commun et globalisé dont témoignent les médias – le journal, la télévision – présents sur les photographies.» Maria Cristina Strati

This series (2009-2010) is inspired by Italian Renaissance portraits and “vedute”, or landscapes, but also by ethnological images. Each image is a narrative of everyday life, in which objects reflect the figure’s identity as well as contemporary events.

“Aurore Valade’s photos bring together three different genres of Classical painting: portrait, interior scenes and the “vedute”. The compositions are the result of meticulous photomontage and touch up. However, in spite of the technical interventions, they remain strongly realist and faithful to the moment of the shooting. This work refers to an essay on portraits in art by the German poet and critic Rainer Maria Rilke, Notes on the Melody of Things (1898). In his writings, Rilke compares the view in the background to a melody, as if each figure was part of a chorus. A faithful reproduction of the figure is not what matters the most. The world hidden behind the figure, and how it is represented and understood, is more important. In the selection shown in Arles, this space is presented as an interior, full of objects and memories, that opens onto a view in perspective of Torino and the globalization of the outdoor world, shown by the media present in the pictures (television and newspaper).” Maria Cristina Strati.

ritratti_uomo_del_fondoriez_on_vous_aime

friends

gli_indifferenti

il_gusto_dei_principi

elogio_della_metamorfosi

la_compagnia_della_tua_vita

la_regina_della_cucina

le_donne_che_amano

modelli_di_donna

paradiso_del_mondo

puntiamo_ai_cieli

tu_non_mi_perderai_mai

tutto_quello_che_non_vedete

dettagli

 

il_signore_dei_sentimenti

RITTRATI TORINO
2009-2010

La série réalisée en Italie s’inspire des portraits de la renaissance italienne et des vedute, aussi bien que d’images ethnologiques en jouant sur différents modes de représentation et de récit. Chaque image s’offre comme une chronique du quotidien où les objets ramènent à l’identité du personnage et à l’actualité contemporaine.

«Les photographies d’Aurore Valade sont construites selon trois genres de la peinture classique : le portrait, les scènes d’intérieur et les vedute. Chaque composition naît d’un minutieux travail de photomontage et de retouches. Mais, en dépit des interventions techniques et des redéfinitions, elles maintiennent une force réaliste et restent fidèles à la vérité du moment effectif de la prise de vue. Le travail d’Aurore Valade renvoie à un essai du poète et critique allemand Rainer Maria Rilke intitulé Notes sur la mélodie des choses (1898), dans lequel il engage une réflexion sur le thème du portrait dans les oeuvres d’art. Dans les écrits de Rilke, la vue sur le fond est semblable à une mélodie, comme si chaque personnage faisait partie d’un choeur, la voix de chacun contribuant à créer l’harmonie de l’ensemble. Selon le poète, ce n’est donc pas la reproduction fidèle du personnage qui fait naître la possibilité de la relation. Plus importantes sont, en revanche, la représentation et la compréhension du « monde » dans lequel le sujet vit, du monde qui se cache derrière la figure. Un espace qui, dans les travaux présentés à Arles, se présente comme un intérieur chargé d’objets et de souvenirs, un espace qui s’ouvre sur la vue en perspective de la ville ou sur le monde commun et globalisé dont témoignent les médias – le journal, la télévision – présents sur les photographies.» Maria Cristina Strati

This series (2009-2010) is inspired by Italian Renaissance portraits and “vedute”, or landscapes, but also by ethnological images. Each image is a narrative of everyday life, in which objects reflect the figure’s identity as well as contemporary events.

“Aurore Valade’s photos bring together three different genres of Classical painting: portrait, interior scenes and the “vedute”. The compositions are the result of meticulous photomontage and touch up. However, in spite of the technical interventions, they remain strongly realist and faithful to the moment of the shooting. This work refers to an essay on portraits in art by the German poet and critic Rainer Maria Rilke, Notes on the Melody of Things (1898). In his writings, Rilke compares the view in the background to a melody, as if each figure was part of a chorus. A faithful reproduction of the figure is not what matters the most. The world hidden behind the figure, and how it is represented and understood, is more important. In the selection shown in Arles, this space is presented as an interior, full of objects and memories, that opens onto a view in perspective of Torino and the globalization of the outdoor world, shown by the media present in the pictures (television and newspaper).” Maria Cristina Strati.

ritratti_uomo_del_fondoriez_on_vous_aime

friends

gli_indifferenti

il_gusto_dei_principi

elogio_della_metamorfosi

la_compagnia_della_tua_vita

la_regina_della_cucina

le_donne_che_amano

modelli_di_donna

paradiso_del_mondo

puntiamo_ai_cieli

tu_non_mi_perderai_mai

tutto_quello_che_non_vedete

dettagli

 

il_signore_dei_sentimenti

RITTRATI TORINO
2009-2010

La série réalisée en Italie s’inspire des portraits de la renaissance italienne et des vedute, aussi bien que d’images ethnologiques en jouant sur différents modes de représentation et de récit. Chaque image s’offre comme une chronique du quotidien où les objets ramènent à l’identité du personnage et à l’actualité contemporaine.

«Les photographies d’Aurore Valade sont construites selon trois genres de la peinture classique : le portrait, les scènes d’intérieur et les vedute. Chaque composition naît d’un minutieux travail de photomontage et de retouches. Mais, en dépit des interventions techniques et des redéfinitions, elles maintiennent une force réaliste et restent fidèles à la vérité du moment effectif de la prise de vue. Le travail d’Aurore Valade renvoie à un essai du poète et critique allemand Rainer Maria Rilke intitulé Notes sur la mélodie des choses (1898), dans lequel il engage une réflexion sur le thème du portrait dans les oeuvres d’art. Dans les écrits de Rilke, la vue sur le fond est semblable à une mélodie, comme si chaque personnage faisait partie d’un choeur, la voix de chacun contribuant à créer l’harmonie de l’ensemble. Selon le poète, ce n’est donc pas la reproduction fidèle du personnage qui fait naître la possibilité de la relation. Plus importantes sont, en revanche, la représentation et la compréhension du « monde » dans lequel le sujet vit, du monde qui se cache derrière la figure. Un espace qui, dans les travaux présentés à Arles, se présente comme un intérieur chargé d’objets et de souvenirs, un espace qui s’ouvre sur la vue en perspective de la ville ou sur le monde commun et globalisé dont témoignent les médias – le journal, la télévision – présents sur les photographies.» Maria Cristina Strati

This series (2009-2010) is inspired by Italian Renaissance portraits and “vedute”, or landscapes, but also by ethnological images. Each image is a narrative of everyday life, in which objects reflect the figure’s identity as well as contemporary events.

“Aurore Valade’s photos bring together three different genres of Classical painting: portrait, interior scenes and the “vedute”. The compositions are the result of meticulous photomontage and touch up. However, in spite of the technical interventions, they remain strongly realist and faithful to the moment of the shooting. This work refers to an essay on portraits in art by the German poet and critic Rainer Maria Rilke, Notes on the Melody of Things (1898). In his writings, Rilke compares the view in the background to a melody, as if each figure was part of a chorus. A faithful reproduction of the figure is not what matters the most. The world hidden behind the figure, and how it is represented and understood, is more important. In the selection shown in Arles, this space is presented as an interior, full of objects and memories, that opens onto a view in perspective of Torino and the globalization of the outdoor world, shown by the media present in the pictures (television and newspaper).” Maria Cristina Strati.

ritratti_uomo_del_fondoriez_on_vous_aime

friends

gli_indifferenti

il_gusto_dei_principi

elogio_della_metamorfosi

la_compagnia_della_tua_vita

la_regina_della_cucina

le_donne_che_amano

modelli_di_donna

paradiso_del_mondo

puntiamo_ai_cieli

tu_non_mi_perderai_mai

tutto_quello_che_non_vedete

dettagli